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C'est maintenant officiel: grâce au travail et à la passion exceptionnels de notre personnel et de nos élèves dans la protection de l'environnement, le Centre scolaire Samuel-de-Champlain a obtenu la plus haute certification (platine) du programme ÉcoÉcoles Canada 2023!!
Rappelons que le programme ÉcoÉcoles Canada offre un programme de certification pour les écoles primaires et secondaires. Ce programme primé favorise l’apprentissage environnemental et l’action climatique, en plus d'être lié aux programmes d’études et d'appuyer les communautés scolaires dans l’évaluation, le suivi et la célébration de l’excellence environnementale.
Les élèves du Centre scolaire Samuel-de-Champlain (CSCSC) ont eu la chance de vivre une expérience sportive unique au cours des dernières semaines. Ils ont pratiqué le ballon-panier en fauteuil roulant, le goalball, le hockey sur luge, le volleyball assis et l’ultimate (frisbee) en fauteuil roulant grâce à l’initiative de leur enseignante d’éducation physique, Mme Anik, et à la complicité de l’organisme Capacité NB.
L’activité, une première dans l’histoire de l’école, a permis de sensibiliser les élèves aux parasports, en plus de développer une grande appréciation pour ces nouveaux sports inclusifs et les athlètes qui les pratiquent. « C’était plaisant de voir nos élèves collaborer en jouant plusieurs parasports, tout en développant une appréciation pour la diversité et l’inclusion des sports accessibles », a confié Mme Anik Gautreau, enseignante d’éducation physique au CSCSC. De plus, contrairement à la croyance populaire, ces sports ont toujours besoin d’athlètes « sans mobilité réduite » pour pouvoir former des équipes et des ligues.
Les élèves ont réalisé que ce ne sont pas des sports faciles à pratiquer, et que de passer quelques minutes dans les souliers de ces athlètes, c’était vraiment un défi. Donc, toute une journée, toute une vie, ils méritent tout notre respect et notre compassion. « C’était plus exigeant qu’on pense, mais amusant. Je répèterais l’expérience n’importe quand! Deux semaines, ce n’était pas assez! » nous a confié Alison Colpitts, une skieuse de 9e année à notre école.
En terminant, Mme Anik avait un merci tout spécial pour ParaNB et Capacité NB : « Ils sont incroyables! Ils nous apportent l’équipement et ils le ramassent et rendent le processus très facile pour les enseignants ». Une expérience inclusive et sportive certainement à refaire!
Jacob Murphy, élève de la 7e année du Centre scolaire Samuel-de-Champlain, est en train de nous prouver que les Jaguars sont redoutables autant sur l’eau que sur la terre ferme! Il a reçu une invitation à faire partie d’un camp de six semaines avec l’équipe Québec de waterpolo. Nous l’avons attrapé avant son départ.
Nous pouvons dire que l’eau coule dans le sang de la famille Murphy, puisque le père et le frère de Jacob ont établi des records en natation. Certains d’entre eux tiennent encore! Ce n’était donc pas une surprise que Jacob joigne le club de natation Fundy Tide à l’âge de 7 ans et démontre des aptitudes similaires. Il a d’ailleurs quelques records d’équipe en relais et un record en Atlantique chez les 12 ans et moins pour le plus grand nombre de points FINA (fédération internationale de natation) accumulés pendant une compétition.
Puis, Jacob s’est découvert une passion pour le waterpolo il y a six ans. Il a tout de suite adoré l’intensité, l’aspect technique et la vitesse de ce sport. C’est lors d’une pratique avec son équipe que son entraineuse lui a parlé qu’il devrait essayer de jouer pour Équipe Québec quand il aurait 14 ans. « Finalement, j’ai 13 ans et j’ai été invité par Équipe Québec à me joindre à leur camp intensif U15 de six semaines! J’en reviens pas encore! », d’expliquer Jacob, qui rejoindra quatre autres jeunes de 13 ans et une dizaine d’autres de 14 et 15 ans.
« Ce sera très intensif et nous prendrons part à deux tournois pendant mon séjour », nous a confié le jeune homme. L’entraineur de l’équipe Québec, Maxime Crevier, pourra l’observer et le conseiller par la suite sur ce qu’il devra améliorer.
Et l’école dans tout ça? Rassurez-vous, Jacob fera l’école à distance grâce à l’aide de ses enseignantes exceptionnelles : mesdames Pinet, Cormier, LeBlanc et Collins. Après tout, entre Jaguars, on s’entraide!
Si tout se passe bien durant le camp, Jacob pourrait recevoir une invitation, afin de jouer de façon permanente avec l’équipe Québec dès l’an prochain! « J’ai des papillons dans l’estomac et j’ai très hâte de commencer. Je pense que je vais être un des plus petits sur l’équipe, mais je vais leur montrer de quoi je suis capable! » de conclure Jacob. Souhaitons-lui la meilleure des chances!
Le premier ministre du Nouveau-Brunswick et plusieurs membres de l’Assemblée législative, représentants du District scolaire francophone Sud (DSFS), enseignants et élèves étaient réunis au Centre scolaire Samuel-de-Champlain mardi matin pour parler de l’approche S’entr’Apprendre, d’innovation et d’apprentissage expérientiel dans les écoles francophones du DSFS.
Le premier ministre Blaine Higgs, accompagné des ministres Bill Hogan (ministre de l’Éducation et du Développement de la petite enfance), Glen Savoie (ministre responsable de la Francophonie), Gary Crossman (ministre de l'Environnement et du Changement climatique), Trevor Holder (ministre de l'Éducation postsecondaire, de la Formation et du Travail), s’est assis avec des élèves des écoles Carrefour Beausoleil de Miramichi, Clément-Cormier de Bouctouche et du Centre scolaire Samuel-de-Champlain de Saint-Jean, qui lui ont expliqué comment les nouvelles approches innovantes en éducation mises de l’avant par le DSFS ont favorisé leur épanouissement personnel et social, en plus de les préparer au monde du travail et à la vie, qui sont en constantes transformations.
S’il a été principalement question de l’approche S’entr’Apprendre (qui favorise l’entraide et la collaboration entre les élèves et le personnel enseignant, en permettant notamment le développement d’une approche multidisciplinaire et créative, et davantage d’occasions d’apprentissage expérientiel où l’apprenant est actif et engagé), les élèves et des directions d’école présents ont affirmé que si le changement entamé il y a moins de trois ans n’a pas toujours été facile, comme tout changement en profondeur d’ailleurs, personne ne reviendrait en arrière.
« La collaboration était au rendez-vous. C’était plaisant de pouvoir accueillir les membres du DSFS et des instances gouvernementales à notre école, afin de démontrer que le Nouveau-Brunswick est sur la bonne voie et peut se démarquer sur la scène mondiale en éducation », a déclaré Éric Levesque, directeur du Centre scolaire Samuel-de-Champlain.
Le public, aussi composé de nombreux partenaires et membres gravitant autour du monde de l’éducation, a également eu la chance d’assister à des présentations préparées par des élèves du primaire 1er et 2e cycles, et du secondaire, afin que tout le monde puisse bien mesurer l’impact de l’approche innovante, notamment par le biais de ses outils technologiques, et les impacts potentiels positifs pour les écoles et les communautés.
Le maire de Memramcook, Maxime Bourgeois, qui a la chance d’avoir l’École Abbey-Landry sur son territoire, une institution certifiée Apple (la seule en Atlantique) déjà reconnue pour son innovation, a souligné ce dernier point qui est désormais essentiel pour l’épanouissement collectif : « L’importance du lien entre l’école et sa communauté ne fait aucun doute. Et nous devons continuer à aller plus loin en exploitant davantage ce lien, pour changer le visage des communautés acadiennes et néo-brunswickoises. »
Pour atteindre cet objectif, comme l’a rappelé Kevin Therrien, directeur de l’École Clément-Cormier, tous les acteurs du milieu et du monde de l’éducation ont un rôle à jouer dans ce mouvement expérientiel en éducation. « Des concierges aux personnes assistantes, en passant par les personnes enseignantes et les agents de développement communautaire, nous avons dû nous adapter aux changements, nous continuons à le faire et nous inspirons le changement. Nous sommes des modèles pour nos élèves ».
Comme quoi, plus que jamais, il faut toute une communauté pour instruire un enfant. Et toute une province derrière nos élèves, pour réinventer l’éducation et la société néo-brunswickoise, un projet à la fois!
Il est en train de se passer quelque chose de bien spécial sous notre nez… Le groupe Moyenne Rig, composé de trois élèves de notre école, figure au palmarès radiophonique de l’ARCANB et accumule les spectacles à un rythme impressionnant!
Le 27 avril dernier, le groupe Moyenne Rig donnait un spectacle au Carrefour de la mer de Caraquet, devant 1500 élèves et membres du personnel des écoles Marie-Esther, Lafontaine et la Polyvalente Louis-Mailloux! C’était déjà leur 5e spectacle scolaire cette année, après avoir foulé les scènes du Théâtre Louis Vermeersch (septembre), de l’École Bayside (janvier), puis l’Île-du-Prince-Édouard (mars) et Grand-Sault (mars).
« L’ambiance était absolument extraordinaire, sûrement l’une des meilleures expériences pour les jeunes », a confié Daniel Ouellette, enseignant au Centre scolaire Samuel-de-Champlain et gérant du groupe.
Il n’y a pas que le spectacle d’hier qui était extraordinaire! En date d’aujourd’hui, la chanson « Mon gros truck » de Moyenne Rig était 4e au palmarès de l’ARCANB, en baisse de 2 places par rapport à la semaine dernière! Tout un exploit pour un groupe « étudiant »!
Et preuve que leur succès n’est pas près de se terminer, la liste de spectacles pour l’été du groupe est déjà passablement remplie. « Nous allons publier la liste sur notre page Facebook dans les prochaines semaines », a indiqué un porte-parole du groupe. Mais déjà, on peut confirmer que les membres de Moyenne Rig seront à Amqui (au Québec) le 3 juin et qu'ils seront de retour au Festival acadien de Caraquet le 9 août! Gageons maintenant que 1500 nouveaux admirateurs de plus les attendent de pied ferme! Ce sera tout un tintamarre!
Quelques classes du Centre scolaire Samuel-de-Champlain ont profité des célébrations du Jour de la Terre du 22 avril pour nettoyer la cour et ses environs. Si la plupart ont travaillé dur vendredi dernier, d’autres prévoient d'y retourner cette semaine. Après tout, le Jour de la Terre est tous les jours!
Jusqu’à présent, les élèves ont rempli près d’une dizaine de sacs grands formats. Ils ont débarrassé la cour d’école et les environs de déchets de toutes sortes, mais principalement des emballages d’aluminium et de plastique. Nos élèves étaient bien fiers d’empêcher ces déchets de finir dans un nid d’oiseau ou dans l’estomac d’un animal.
Merci aux élèves et à leurs personnes enseignantes pour votre beau travail et de nous rappeler que nous n’avons qu’une seule planète et que nous la voulons en santé!