Centre scolaire Samuel-de-Champlain

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Le Centre scolaire Samuel-de-Champlain de Saint-Jean sera bien représenté à SHAD 2018 cette année. Mika Godin et Katherine Vié, deux élèves de 10e année, se joindront à 900 autres élèves canadiens pour vivre l’expérience d’une vie !

La compétition était particulièrement intense cette année, avec un nombre record de plus de 2 200 candidatures d’élèves provenant de partout au Canada. Quand on sait que la priorité est donnée aux élèves de 11e et 12e années, les dossiers de Mika et Katherine étaient donc impressionnants ! En plus d’écrire cinq essais, nos deux élèves devaient démontrer leur engagement communautaire, leurs performances académiques et sportives, leur capacité à résoudre des problèmes, etc. Gageons que le programme de reconnaissance C.A.L.E (créativité, activité physique, leadership et engagement communautaire) a certainement bonifié leur candidature !

« J’aimerais remercier l’école pour tout son soutien au cours du processus d’application », a confié Irina Vorobtsova, mère de Katherine. « Que ce soit au niveau des relevés de notes, de leurs conseils au niveau des essais ou encore pour les belles lettres de références, merci d’avoir rendu cette expérience extraordinaire possible pour les filles ».

Rappelons que le programme SHAD offre des conférences, des ateliers, des projets et des activités pour les élèves du secondaire au Canada. SHAD mise sur les STIAM (sciences, technologie, ingénierie, art et mathématiques) en amenant les participants à prendre part à un programme multidisciplinaire qui offre des expériences uniques et une nouvelle façon d’aborder le monde. Parmi les conférenciers, on retrouve des professeurs universitaires, des chefs d’entreprise, des entrepreneurs et des innovateurs, qui inspirent les élèves et les incitent à se fixer des objectifs ambitieux. Félicitations Mika et Katherine !  Nous sommes fiers de vous !

Le lundi 22 janvier dernier, les élèves du secondaire du Centre scolaire Samuel-de-Champlain de Saint-Jean rencontraient trois entrepreneurs du Nouveau-Brunswick dans le cadre de la 1re édition du Panel sur l’entrepreneuriat Sam-Connecte. Une expérience enrichissante autant pour les invités que pour les élèves.

Le programme Sam-Connecte, créé il y a 6 ans, a pour but d’offrir annuellement aux élèves de toute l’école, mais particulièrement à ceux du secondaire, la chance d’explorer un choix de carrière en rencontrant des employeurs dans leur milieu ou à l’école. Quatre grands thèmes sont abordés sur un cycle de quatre ans, soit le mieux-être, le bénévolat, le monde du travail et l’entrepreneuriat, qui était le thème de cette année.

L’organisation a frappé un grand coup pour sa première édition en réunissant un trio de grande qualité. Ainsi, l’école a invité André Beaulieu, directeur des ventes chez JD Irving (division scieries) et représentant le secteur grande entreprise, Monica Adair, architecte cofondatrice de The Acre Architects, qui représentait une moyenne entreprise, de même que Rémi Poirier (A-Track Media), propriétaire de sa propre entreprise à 17 ans seulement, ont généreusement accepté l’invitation. À travers leurs métiers respectifs, ces trois personnalités mettent en valeur le Nouveau-Brunswick et contribuent à son rayonnement national et international. Les élèves ont bénéficié de leurs nombreuses années d’expérience cumulées pour en apprendre davantage notamment sur les qualités d’un bon entrepreneur, d’un bon leader ou encore d’un bon influenceur.

Durant la séance de questions, les trois invités ont livré un message unanime : ne jamais accepter le statu quo, toujours remettre les choses en questions et ne pas sombrer dans la culture de la médiocratie. Dans une province trop souvent boudée par les immigrants et les jeunes, alors qu’elle a pourtant donné naissance à de grandes entreprises de réputation nationale et mondiale, nos entrepreneurs invités rappelaient dans leurs mots que de toujours accepter les choses comme « normales » sans toutefois soulever la moindre question n’est pas une stratégie collective gagnante à long terme. Bref, une expérience inspirante et qui incitera certainement la réflexion !

Rappelons que cette belle rencontre a été rendue possible grâce à l’initiative Entrepreneurs dans les écoles de Place aux compétences dans le cadre des célébrations du 150e anniversaire du Canada.

Tout le Centre scolaire Samuel-de-Champlain de Saint-Jean, mené par deux élèves nouvellement arrivées, Haïfa Haram et Léonie Girard (10e année), s’est rallié à la flamme olympique ce matin. Une cérémonie d’ouverture haute en couleur a lancé un calendrier d’activités sportives, culturelles et sociales qui se dérouleront à l’école tout au long des XXIIIes Jeux d’hiver de Pyeongchang.

Le Théâtre Louis-Vermeersch du Centre Samuel-de-Champlain était rempli à craquer ce matin tandis que les jeunes de l’école arboraient pour l’occasion les couleurs et les drapeaux des pays participant aux Jeux olympiques d’hiver de Pyeongchang. Ils répondaient énergiquement à l’invitation lancée par Haïfa Haram et de Léonie Girard, élèves de 10e année, qui voulaient réunir toute leur école sous les valeurs olympiques.

« La cérémonie d’ouverture a été un succès sur toute la ligne : les jeunes y ont participé avec ferveur, ils ont démontré leur fierté canadienne et même internationale. Je suis si fière de voir à quel point ils ont apprécié ces beaux moments », nous a confié Mme Mélanie Boudreau, enseignante de français en 10e année à l’école et responsable du projet. Ses élèves et elle ont fait un travail sensationnel en réussissant à allumer la flamme intérieure et celle de l’appartenance chez plusieurs élèves. Leur travail a d’ailleurs beaucoup touché le cœur des membres du Comité olympique canadien, qui les ont félicités et remerciés en leur envoyant des articles promotionnels et des objets pour leur musée olympique.

« Le symbolisme de la flamme olympique est certainement intéressant. En éducation, accompagner nos élèves à allumer leur flamme intérieure devrait être notre priorité. Une fois la flamme allumée, le tout tombe en place », explique Lise Drisdelle-Cormier, directrice du Centre scolaire Samuel-de-Champlain.

Il faut également souligner la grande générosité du magasin Canadian Tire de Saint-Jean Est, représenté par son propriétaire, M. Joël Girard, de même que la Fondation Bon Départ. Ils ont gracieusement offert des prix aux élèves pour souligner leurs efforts pendant leurs olympiques et rappeler à tout le monde qu’après tout, « nous jouons tous pour le Canada ».

Si le sport a cette capacité de rassembler tout le monde sous les mêmes couleurs, Mme Isabelle Savoie, directrice exécutive de l’apprentissage au District scolaire francophone Sud, a rappelé que les valeurs olympiques étaient ce fil conducteur qui unissait tous les athlètes et les sports confondus, que ce soit aux Jeux olympiques ou à la maison : « Je vous invite à vivre les valeurs olympiques aujourd’hui, dans le cadre de vos jeux, mais aussi chaque jour, que ce soit à la maison, dans la cour d’école, en classe ou en pratiquant vos sports préférés ».

Luc Poirier, élève de 11e année du Centre scolaire Samuel-de-Champlain, et son groupe de musique Burgundy Drive, ont lancé vendredi dernier leur premier album EP en carrière. Il devient le premier élève de l’histoire récente de l’école à lancer un album professionnel en dehors du contexte scolaire.

Luc Poirier a grandi dans la musique. Son père, Éric Poirier, a joué pendant longtemps dans le groupe Macédoine, qui sillonnait la province. « Je joue de la musique depuis l’âge de 9 ans », nous a-t-il expliqué en entrevue. « J’ai commencé d’abord à chanter, puis j’ai appris à jouer de la batterie, de la guitare, de la basse, et par la suite du saxophone à l’école ». Le jeune homme originaire de Shediac prévoit aussi apprendre le piano dans les prochaines années, ce qui le rendra encore plus polyvalent.

Désigné comme « Artiste à surveiller » par MusiqueNB l’an dernier, notamment en raison de sa collaboration sur trois albums, dont deux qui ont reçu des nominations dans la catégorie Album jeunesse, Luc aimerait bien faire carrière en musique. « J’aimerais étudier en musique. J’aimerais qu’elle occupe une grande place dans ma vie », a confié Luc. Il hésite par contre entre l’enseignement, la technique de son ou l’enregistrement.

Une chose est certaine par contre, il a la musique dans la peau. En plus de faire partie du projet Musimaniacs à l’école, Luc est également membre de deux autres groupes en dehors des murs de l’école. Le premier, The Wiseaus, joue ce qu’il décrit comme du post-punk lo-fi. L’autre projet interprète des reprises de différents groupes allant de Fleetwood Mac à Tragically Hip.

L’album EP de Burgundy Drive est disponible chez tous les bons disquaires et en ligne. Il rappellera aux nostalgiques les bonnes années du grunge avec des influences de Seattle comme Pearl Jam, Alice in Chains et Soundgarden.

L’équipe de hockey des Jaguars du Centre scolaire Samuel-de-Champlain de Saint-Jean a amorcé 2018 en force en remportant les honneurs de la Classique Covered Bridge, qui se déroulait à Hartland du 5 au 7 janvier derniers. Cet exploit est d’autant plus remarquable que l’équipe n’existait pas il y a deux ans !

Les Jaguars (hockey), qui en sont à leur deuxième saison cette année, ont remporté leur premier tournoi majeur en défaisant l’équipe hôtesse, les Huskies de Hartland, par la marque de 2 à 1. Xavier Cormier, le capitaine des Jaguars, a marqué les deux buts de son équipe, ce qui lui a valu le statut de joueur du match.

Cette victoire est l’accomplissement d’un rêve pour l’élève de 12e année, qui rêvait depuis longtemps d’une équipe de hockey pour le Centre scolaire Samuel-de-Champlain (CSSC). Plusieurs personnes ne croyaient pas que cela serait possible, entre autres en raison de la petite taille de l’école. Mais n’écoutant que son courage et sa détermination, réunissant les bonnes personnes autour d’eux, Xavier, Robert Burgess, Xavier Cormier, Jasper Daigle, Chantal LeBlanc et Jacob Methot ont bâti une équipe, qui peut déjà aspirer aux grands honneurs.

« Maintenant, grâce à notre équipe de hockey, notre famille grandit. Les jeunes restent à notre école. Et on peut montrer que non seulement nous avons une belle équipe, mais qu’on peut gagner et ça, c’est un sentiment extraordinaire ! », confiait Xavier Cormier.

Le CSSC aura donc sa première bannière de hockey accrochée au gymnase. Un fait d’armes dont tout le monde peut être fier. La première de nombreuses autres, il n’en fait aucun doute !

Le Projet CENA du Centre scolaire Samuel-de-Champlain de Saint-Jean et la Fondation Samuel-de-Champlain sont toujours en lice pour une subvention de 50 000$, afin de réaliser leur classe extérieure scolaire-communautaire par l’entremise du projet de legs communautaire des écoles secondaires Canada 150.

« Ce projet a pour but d’inspirer nos jeunes à passer à l’action sur une question sociale en collaboration avec un organisme sans but lucratif », a déclaré le ministre de l’Éducation et du Développement de la petite enfance, Brian Kenny. « Félicitations à tous les élèves qui participent pour leur passion et leur volonté d’aider les autres. »

Les élèves de la neuvième à la 12e année devaient faire une proposition de projet touchant un enjeu local ou provincial à leur conseil des élèves. Dans le cas de notre école, c’est la sécurité alimentaire et le mieux-être chez les jeunes qui préoccupaient les élèves. C’est le projet de classe extérieure du groupe CENA qui a été retenu au Centre scolaire Samuel-de-Champlain, mené de front par Isabelle Bouchard, élève de 12e année. Les jeunes travailleront donc avec la fondation de l’école, afin d’implanter le projet et de s’assurer qu’il ait le maximum d’impact dans la communauté.

« Les élèves du secondaire rêvent depuis longtemps d’avoir un espace pour eux. D’ailleurs, on sait à quel point la nature est ressourçante. Je crois que la classe extérieure saura répondre à ce besoin. De plus, ce sera un endroit sécuritaire, motivant et positif pour le mieux-être des élèves et de la communauté », explique Isabelle Bouchard, l’élève qui a présenté le projet de classe extérieure pour le legs communautaire.

« Ce projet Canada 150 est l’occasion pour nos élèves du secondaire de participer davantage dans leur communauté », a affirmé le ministre du Tourisme, du Patrimoine et de la Culture, John Ames. À cet effet, preuve que le mieux-être et la sécurité alimentaire ne sont pas des préoccupations que scolaires, la classe extérieure propose un coin lecture, un coin jardin, un coin apprentissage et un espace repas, en plus d’être utilisée par les usagers du centre communautaire en dehors des heures de classe.

Le Projet CENA et la Fondation Samuel-de-Champlain sauront bientôt si leur projet a été retenu. Dans le cas échéant, de belles célébrations seront à prévoir en 2018!

Source:

Communiqué de presse du 13 décembre 2017  du ministère de l’Éducation et Développement de la petite enfance; Tourisme, Patrimoine et Culture

http://www2.gnb.ca/content/gnb/fr/nouvelles/communique.2017.12.1595.html

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