Centre scolaire Samuel-de-Champlain

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La Finale provinciale du tournoi d’échecs a eu lieu le 22 avril dernier, à l’école Bernice MacNaughton de Moncton. Kiro Veljanovski, élève de 5e année du Centre scolaire Samuel-de-Champlain, a remporté toutes ses parties et s’est mérité la première place !

Grâce à cette formidable performance, il représentera fièrement notre école et le district au niveau national. Il s’envolera d’ailleurs pour Toronto le 21 mai prochain, afin de prendre part au Défi échiquéen national. Kiro aura alors la chance de se mesurer aux autres champions provinciaux. Souhaitons-lui bonne chance !

Dans le cadre du projet Une école, un artiste 2016-2017 qui se déroule présentement au Centre scolaire Samuel-de-Champlain, Marc Gosselin, notre cinéaste en résidence, a réalisé à l’aide de quelques élèves une première vidéo sur Arianne Caissie, élève de 12e année et gagnante de l’édition 2016 d’Accros de la chanson.

Nous avons le plaisir de vous présenter Arianne Caissie : confessions d’un cœur vagabond.

Bonne écoute et n’hésitez pas de partager et de faire connaitre cette jeune artiste à l’avenir très prometteur parmi tous vos contacts !

Merci beaucoup à ceux et celles qui ont aidé au projet, dont bien sûr, Marc Gosselin et Arrowfoot Productions.


Félicitations à nos gagnants et finalistes qui ont pris part au Tournoi d’échec du District francophone Sud, qui avait lieu à Shediac le 18 mars dernier !

5e année : Kiro Veljanovska (Or)

6e année : Vincent Francoeur (Bronze)

8e année : Patrick Talbot (Or)

11e année : Mila Veljanovska (Argent) – absente sur la photo

Nos élèves prendront part au Tournoi provincial, qui aura lieu le 22 avril à l’école Bernice McNaughton de Moncton.

Notons que le gagnant provincial de chaque niveau (1re à 12e) sera invité à participer à la Finale nationale du Défi échiquéen canadien qui aura lieu à Toronto du 21 au 22 mai 2017.

Les professionnels de la santé ont leur rôle dans la peau 24 heures sur 24, sept jours par semaine.

La santé et sécurité des jeunes athlètes a été toujours une des préoccupations du Dr Cristian Parascan, propriétaire de la Clinique dentaire Parascan située dans le quartier Millidgeville. Pour le Dr Parascan, la prévention des accidents associés aux sports est essentielle. « Dans le hockey comme dans tous les sports de contact, les accidents arrivent vite et il est important de s’assurer que nos jeunes athlètes soient protégés ».

Dans le passé, le Dr Cristian Parascan a offert des protecteurs buccaux de qualité professionnelle à des jeunes qui jouaient dans les équipes compétitives. « J’offre des protecteurs buccaux confectionnés sur mesure, ce qui augmente nettement le facteur de protection », nous confie l’homme. « Perdre une dent permanente peut représenter des coûts de traitements et des suivis qui peuvent s’élever entre 5000 $ et 20 000 $ au cours d’une vie », explique le Dr Parascan.

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Cette année, les Jaguars de Samuel-de-Champlain ont eu la surprise de recevoir de nouveaux casques et des gants protecteurs aux couleurs traditionnelles de l’équipe, un don de la part des Docteurs Simona et Cristian Parascan. « J’ai voulu qu’ils soient protégés avec des casques et des gants de haute qualité et aussi qu’ils se présentent bien habillés sur la glace », raconte le Dr Cristian Parascan.

Outre que le facteur sécurité, les Parascan voulaient également alléger le fardeau financier qui retombe trop souvent sur les épaules des parents des joueurs. Un bon équipement de hockey peut représenter une somme énorme pour une famille. Sans compter les déplacements, qui sont aux frais de l’équipe et par le fait même, des parents.

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« L’école Samuel-de-Champlain a une jeune équipe de hockey et aussi une belle équipe de soccer (Championne provinciale en 2016). On aime tous les voir gagner et là on est fier qu’ils soient les nôtres. Par contre, on oublie souvent les efforts qu’ils font pour arriver à ce niveau » explique-t-il.

« Ce n’est pas juste les parents des 15 joueurs de l’équipe qui doivent supporter les coûts. Ce serait tellement bien que toute l’école soutienne les équipes qui la représentent. J’ai vu des parents et quelques enseignants venir aux parties. Imaginez si la plupart des élèves de l’école venaient assister aux parties : quelle atmosphère, quel soutien ça pourrait donner à l’équipe ! »

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Vous pouvez venir voir les Jaguars affronter des Anciens de l’école dans le cadre de la Classique des Anciens 2017, ce samedi 25 mars, dès 14 h 30, à l’aréna Stu Hurley. Ce sera une partie excitante autant pour les joueurs que les spectateurs ! Allez les Jaguars d’hier et d’aujourd’hui, nous sommes fiers de vous !

Le Père Louis Charles Vermeersch, curé fondateur de la Paroisse francophone Saint-François-de-Sales et architecte de la construction du Centre scolaire-communautaire Samuel-de-Champlain de Saint-Jean, nous a malheureusement quittés le vendredi 17 mars dernier à l’âge de 96 ans. La communauté se rappellera un homme exceptionnel, dévoué, passionné, un rassembleur charismatique comme il ne s’en fait plus beaucoup de nos jours.

Né à Westkerke (Oudenburg) en Belgique en 1920, ce fils de fermier a été ordonné prêtre de l’ordre des Salésiens à Tokyo en 1953. Il y a enseigné l’anglais, tout en étant éditeur-traducteur de livres et d’un magazine catholique. Il est débarqué au Canada alors qu’il avait 40 ans. Sa connaissance de plusieurs langues (hollandais, allemand, japonais, italien, anglais, français) lui a ouvert bien des portes et bien des cœurs. En effet, l’achalandage au port de Saint-Jean, qui était l’un des plus occupés au pays pendant l’hiver avant l’achèvement de la Voie maritime du Saint-Laurent, l’a amené à devenir aumônier des installations de la ville portuaire. Ses compétences linguistiques lui « ont permis d’offrir aux marins du confort, de la camaraderie ainsi que de l’aide pastorale », a-t-il déjà confié en entrevue.

En 1980, suite à une suggestion de l’évêque Mgr Gilbert, le Père Vermeersch, épaulé par les religieuses de la congrégation Notre-Dame-du-Sacré-Cœur, a mis en œuvre des programmes éducationnels, culturels et religieux pour les francophones de la région. La Paroisse Saint-François-de-Sales naissait le 15 août 1981. Petit à petit, le noyau francophone se solidifiait et commençait à s’épanouir à Saint-Jean.

C’est au cours d’une discussion tenue aux débuts des années 1980 avec le regretté premier ministre Richard Hatfield que les plans du centre ont pris forme. Le politicien lui avait alors demandé : « Quand est-ce que les francophones de Saint-Jean vont qualifier la ville de notre chez-nous ? ». Le curé lui avait alors répondu que ce serait quand ils auront une place bien à eux pour se rencontrer et éduquer leurs enfants en français. Ce soir-là, le Père Vermeersch venait de terminer la lecture des récits des voyages de Samuel-de-Champlain, qui lui est aussitôt apparu comme un nom idéal pour le futur centre.

Avec l’arrivée de nouvelles familles, avec les pressions exercées par un comité piloté par le Père Vermeersch et ce qu’il surnommait  « sa Trinité », composée d’Irène Grant-Guérette, Anne Church et de la regrettée Diane Chevarie, les francophones de Saint-Jean ont finalement pu appeler la ville portuaire leur « chez eux » en 1985, avec l’ouverture officielle du Centre scolaire-communautaire Samuel-de-Champlain.  La salle de spectacle du centre, qui avait accueilli les messes durant plusieurs années, était nommée en son honneur, afin que les générations futures se souviennent de ses causes et de ses convictions.

Un dernier hommage à ce grand bâtisseur aura lieu dans l’église qu’il a bâtie avec ses paroissiens en 1998, l’église Saint-François-de-Sales, ce jeudi à 15 h. Monseigneur Robert Harris, l’évêque de Saint-Jean, officiera la messe. Au nom de tous les élèves et du personnel du Centre scolaire Samuel-de-Champlain, de même que des membres de la communauté francophone de Saint-Jean: mille fois merci et reposez en paix, Père Vermeersch !

Afin de souligner la Journée nationale du chandail rose qui avait lieu ce mercredi 22 février, l’École des Pionniers de Quispamsis et le Centre scolaire Samuel-de-Champlain de Saint-Jean avaient prévu plusieurs activités ayant pour thème « Répandons la gentillesse ».

Les élèves de la maternelle à la cinquième année de l’École des Pionniers ont reçu de la belle visite mercredi. Kaiya Hemmings, une ancienne de l’école, est venue leur livrer un message d’amour et d’inclusion. Comme un rayon de soleil et avec sa joie de vivre contagieuse, elle a présenté une vidéo touchante sur l’inclusion réalisée avec l’aide de membres de sa famille. Cette jeune élève de 2e année a eu une journée chargée, puisqu’elle a également livré son message au Centre scolaire Samuel-de-Champlain le même jour aux jeunes de la maternelle à la quatrième année, et dans d’autres écoles de la région (en anglais cette fois).

Laurence Leduc, élève de 12e année du Centre scolaire Samuel-de-Champlain, s’est inspirée de « Cause pour la cause » de Bell pour créer le projet Sam_Cause dans le cadre de son cours de leadership. Elle avait remarqué la grande participation de ses camarades pour la cause du géant canadien des télécommunications et a décidé d’organiser des activités ayant pour but de rappeler à chacun l’impact quand on sème la gentillesse autour de soi. Mardi et mercredi, des jeux faisant la promotion de la gentillesse ont été organisés pendant les pauses et la jeune femme a été fort impressionnée par la participation des enseignants et des élèves confondus sur les médias sociaux et dans les corridors.

Même Martin Larocque, conférencier et acteur, en visite à Samuel-de-Champlain le jeudi 23 février pour faire une présentation sur l’intimidation, s’est prêté au jeu, posant fièrement avec Laurence Leduc et son slogan « Ta voix est plus forte que tu le crois – partage ta gentillesse – #Sam_Cause ». Ce dernier a livré avec verve et humour un message vibrant et inspirant sur les conséquences de l’intimidation.

Bref, cette semaine a rappelé aux élèves, aux membres du personnel et à la communauté que le respect d’autrui prend sa source dans le respect de soi-même. Et qu’un geste de gentillesse sème le bonheur de part et d’autre.

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